Pour moi, c'est le moyen le plus approprié pour saisir l'environnement où je prends la photo. Ce qui m'intéresse aussi, c'est l'écriture photographique; je peux dessiner avec l'appareil photo en utilisant par exemple les effets de lumière, de l'objectif, etc. Lorsqu'il s'agit d'un paysage ou d'un endroit bien précis à photographier, je l'étudie tout d'abord de près, avant de revenir sur place un mois après environ pour prendre, à partir de mon étude précédente, des photos.  

Financièrement, ça ne me nourrit pas. Je me nourris surtout par rapport à mes oeuvres d'art, aux tableaux que je réalise chez moi par exemple.

En 2010, j'ai été parmi la sélection africaine à un concours sur le changement climatique, organisé par les Nations-Unies et qui avait eu lieu au Mexique. C'est dans ce concours que j'ai gagné pour la première fois une certaine somme d'argent.

 La musique, le théâtre, la peinture, l'art plastique, la vidéo, le design, le cinéma, etc.

J'ai eu à participer au Festival des Niayes à Mboro (dans la région de Thiès), à l'exposition "Regards sur Cours" à Gorée et à l'espace culturel "Denn-Gui" à Dakar Plateau, ainsi qu'au Festival "Jokko" à Ngor. J'ai eu à participer en 2009 à l'atelier de photographie artistique, organisé par le Goethe Institute à Dakar, où j'ai aussi exposé avec la photographe belge Alice Jones, en octobre dernier (2011). Cette exposition collective s'intitulait "Entre le Fleuve et l'océan". Auparavant, au mois de septembre, j'ai aussi exposé à l'Institut Français de Dakar. 

Lors du "Haïti Day" organisé au Centre Culturel Douta Seck à Dakar. J'ai eu à participer à la récolte de fonds et par rapport à l'organisation, du côté technique, de cet évènement.